
Je suis Nicolas Holzapfel, 63 ans
Je réside en Charente maritime, près de Saint-Jean d’Angely.
Médecin hospitalier, je suis aussi passionné de photographie depuis plus de 50 ans.
J’ai tour à tour découvert de nombreux sujets, allant de la macro en passant par la photo aérienne, astronomique, mais aussi les sports mécaniques, le paysage, les portraits et plus encore.
Depuis trois ans, je me concentre sur la photo animalière ornithologique, profitant de la très riche région de Charente maritime, et visite cet environnement vu du ciel à l’aide d’un drone.
Dans ce blog, je vous ferai partager mes découvertes, avec comme fil rouge la pédagogie.
Derrière une image sa cache souvent une préparation documentaire, technique que je partagerai avec vous.
J’utilise du matériel Olympus pour plusieurs raisons :
Le format 4/3 me semble parfaitement adapté aux images que je prends, principalement des portraits d’animaux. Le format standard me semble trop large et plus adapté aux paysages.
Le pixel mapping intégré dans tous les firmware de la marque. Cette fonction permet de corriger le problème inévitable des pixels morts, existant sur tous les capteurs, même neufs. Il est désagréable de trouver des points toujours au même endroit, qu’il faut nettoyer à l’aide d’un logiciel.
Le nettoyage du capteur à ultrasons. Le problème des poussières qui se déposent sur le capteur existe depuis l’invention de la photographie numérique. Le nettoyage manuel du capteur est possible, mais délicat et risqué. La manipulation doit être répétée régulièrement. Plus le capteur est grand, plus le phénomène est fréquent. Avec un nettoyage par ultrasons à chaque démarrage du boitier, le capteur reste toujours propre. En 15 ans d’utilisation, je n’ai jamais nettoyé un seul capteur de mes différents boîtiers. Avant, avec mes boitiers Canon, je devais les nettoyer au moins une fois par mois sous peine de retrouver des taches identiques sur toutes mes images.
Le capteur plus petit autorise la construction de boitiers plus compacts, plus légers, et des objectifs allégés dans les mêmes proportions. Lorsqu’on utilise des longues focales, cela fait vraiment la différence.
Le capteur petit format a un coefficient multiplicateur de 2, ce qui signifie qu’un objectif de 50 mm de focale devient un 100 mm. Un télé zoom 100-400 mm devient alors un 200-800 mm ! de quoi faire de la vrai chasse photo.
Le capteur plus petit est en théorie moins riche en pixels, mais 12 mp suffisent largement pour une diffusion web ou une impression jusqu’au format A4.
Ces capteurs produisent un grain numérique un peu plus important que les capteurs pleins format, mais ce problème est maintenant très bien corrigé par de nombreux logiciels. J’utilise dxo pureraw 2 qui est un des meilleurs logiciel de traitement des fichiers RAW. Ce logiciel ne se contente pas de presque supprimer le bruit numérique, mais il corrige les défauts des images à l’aide d’algorithmes spécifiques à chaque couple boitier – objectif. Il est d’une redoutable efficacité.
Vous l’avez compris, je suis fermement convaincu qu’Olympus, désormais OM System, apporte un vrai plus pour la photographie, surtout pour la photo animalière avec de longues focales.
Nouveau depuis le 26 avril 2023 :
J’ai été bluffé par la pertinence des réponses de ChatGPT et ai désormais confié à cette IA le soin de rédiger certains de mes commentaires d’articles.
Certains penseront que je cède à la paresse, mais je préfère penser que je choisi la modernité.
Je suis persuadé que cette manière de travailler deviendra le standard très rapidement, alors, autant commencer tout de suite !
N’hésitez pas à commenter mes sujets, je vous répondrai avec plaisir.
Photographiquement,
Nicolas